par Jean Didier Bergilez, Faculté d’Architecture, ULB

Partant d’une ethnographie des espaces contemporains de sexualités dites « libertines », Jean-Didier dessinera les contours de sa thèse, à partir, entre autres, du prétexte heuristique que fut pour lui le concept de pornotopie réactualisé par Preciado. Il reviendra également, dans ce contexte particulier/familier de Striges, sur les conditions mêmes de cette enquête, l’inconfort ethnographique qu’elle a pu soulever, mais aussi les questions que ce terrain et ses méthodes posent à la recherche quand il s’agit de rendre compte et analyser ce qui engage les rapports entre espaces, genres, sexualités et leur conceptualisation. Ou comment trouver la juste distance dans l’écriture entre compréhension, réflexivité, positions politiques et/ou académiques. Mardi 6 février de 12h15 à 14h Salle des Commissions (4^e étage) Maison des Sciences Humaines – R Avenue Antoine Depage 1 – 1050 Bruxelles Entrée libre sans inscription